Assemblée générale de rentrée

26 août 2019 | Ecrit par Patrice MARCHAND

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DE RENTRÉE

Lundi 9 septembre 2019

 Centre Sportif de l’Aube, 5 rue Marie Curie à Troyes

Début des travaux à 8h30

Les points à l’ordre du jour seront entre autres les suivant :

Actualité sociale et revendicative, le dossier des retraites, le référendum contre la Privatisation d’Aéroports de Paris (ADP), Plan National de Gestion des Matières et des Déchets Radioactifs (PNGMDR), le  Plan Régional de Santé (PRS2) etc.

Retraites : stoppons le projet de régression sociale !

19 juillet 2019 | Ecrit par Patrice MARCHAND

Cher(e)s Camarades,

Vous trouverez pour votre information en lien sur le site, le dossier complet « Retraites : stoppons le projet de régression sociale».

Sont disponibles :

–      Le communiqué

–      Le tract,

–      La vidéo,

–      Le simulateur : pour le public et pour le privé.

Vous trouverez également sous ce lien le Rapport Delevoye pour votre information

RIP ADP : première escale vers la démocratie

16 juillet 2019 | Ecrit par Patrice MARCHAND

RIP ADP : première escale vers la démocratie

La procédure pour demander un Référendum d’Initiative Partagée (RIP) sur l’avenir d’ADP a été gagnée, c’est la première étape d’un processus complexe et c’est une première en France !

L’enjeu de ce référendum porte sur une proposition de loi visant à « Affirmer le caractère de service public national de l’exploitation des aérodromes de Paris ». Il réside aussi et surtout dans une exigence de plus de démocratie, dans la capacité des citoyennes et citoyens à décider du devenir des biens et richesses de la nation, ce qui n’a pas été le cas, par exemple, lors des privatisations des autoroutes…

Pour le référendum….    à suivre sur le site de la Confédération

Grève du Bac : le ministre doit reprendre le dialogue avec les personnels.

06 juillet 2019 | Ecrit par Patrice MARCHAND

Depuis plusieurs mois les parents d’élèves et les personnels de l’Éducation nationale se mobilisent contre les réformes des lycées et plus globalement contre la politique du ministre.

Face à cette contestation qui dure et s’amplifie, le ministre reste sourd aux demandes de concertation estimant, à tort, que le temps du dialogue a déjà eu lieu. S’il est exact que de nombreuses rencontres ont pu avoir lieu, elles n’ont en rien permis de modifier les projets portés par Jean-Michel Blanquer. En choisissant la fermeté et les pressions à l’égard des personnels qui usent de divers moyens d’opposition, c’est bien le ministre qui est responsable des tensions et du durcissement du mouvement.

À l’heure des épreuves du bac, de très nombreux·ses collègues se sont mis en grève pour protester contre la réforme des lycées et/ou ont décidé de ne pas transmettre leurs notes aux jurys. Dans de très nombreux endroits, cette mobilisation est très significative, ne présente aucun signe d’essoufflement et sont susceptibles d’entraîner des retards de publication de résultats.

Après avoir eu recours  au chantage des sanctions à l’égard des enseignant·es grévistes, le ministre, a décidé de remplacer, pour les élèves dont les copies seraient retenues, les notes des épreuves par celles du contrôle continu de l’année.

Pour la CGT Éduc’action, cette décision unilatérale constitue une grave rupture du principe d’égalité entre les candidat·es et remet en cause un certain nombre d’articles du Code de l’Éducation. Nous soutenons les collègues qui considèrent être dans l’incapacité de tenir les jurys dans des conditions sereines et satisfaisantes pour l’ensemble des candidat·es.

Face à cette situation inédite, fruit d’un blocage persistant entre les personnels et le ministre, la CGT Éduc’action demande expressément au Premier ministre et à son ministre de l’Éducation nationale d’instaurer un moratoire sur cette réforme des lycées et d’ouvrir en urgence une large concertation sur le sujet.

Montreuil, le 5 juillet 2019

Fonction Publique, Les syndicats déposent une motion en préfecture.

28 juin 2019 | Ecrit par Patrice MARCHAND

Des militants syndicaux ont déposé une motion en préfecture contre la loi Fonction publique.

 « Après la réforme du Code du travail, le gouvernement s’attaque à la fonction publique. Salaire au mérite, gel du point d’indice, journée de carence, mobilité imposée aux fonctionnaires… Tout cela s’inscrit dans la construction d’une société de précarité et d’individualisme » , peut-on lire dans une motion remise hier, vers 17 h, au préfet de l’Aube par des militants de plusieurs syndicats, à Troyes.

« Tout cela s’inscrit dans la construction d’une société de précarité et d’individualisme »

Pour lire le texte de la motion.

L’intersyndicale

CGT, FO, FSU et la CFTC revendiquent le retrait pur et simple de la loi Fonction publique, le renforcement du statut pour « préserver l’indépendance du fonctionnaire » , le maintien des CHSCT, ou encore « des mesures fortes de justice fiscale » .

« Différents appels à la grève ont couru tout au long du mois de juin et notre action de ce jour entre dans cette logique » , a indiqué Jean-Michel Barrois, pour la CGT, entouré d’une vingtaine de militants de différentes organisations. Joël Sohier, pour FO, a précisé : « Nous ne cherchions pas à être nombreux, nous avons décidé de remettre notre motion au préfet, soutenus par les camarades qui le désiraient. »

Une motion qui souligne aussi le soutien des syndicats à la grève des personnels urgentistes dans les hôpitaux. Un nouveau mouvement est prévu en France le 2 juillet.

Le gouvernement veut plus de souplesse

Pour rappel, le projet de loi de transformation de la fonction publique a été présenté en février dernier, quatre-vingts ans après la création du statut de fonctionnaire. Recours accru aux contractuels, possibilité de rupture conventionnelle ou encore 35 heures effectives : l’objectif annoncé par le gouvernement est d’apporter plus de souplesse au secteur. La fonction publique en France est composée de 5,5 millions agents.