C’est ici : Droit de grève, mode d’emploi
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En premier lieu, il y a nécessité d’agir d’urgence, en amont du départ à la retraite, pour améliorer les pensions :
Ce rapport n’apporte aucun élément nouveau susceptible de justifier de nouvelles mesures régressives. Il apparaît comme une stricte opération de communication.
Un déficit organisé pour justifier une dégradation des retraites pour toutes et tous
Ce déficit est tout d’abord construit de toutes pièces. Le COR lui-même souligne que « le solde financier du système de retraite […] dépend de manière cruciale de la convention [comptable] retenue. » Il acte, ainsi, que « la part des ressources consacrées au système de retraite dans le PIB diminue sur la période de projection. »
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Le 25 novembre est la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes.
Depuis le début de l’année ce sont 131 femmes qui sont mortes sous les coups de leur compagnon.
Ce sont également 225 000 femmes qui subissent des violences de la part de leur compagnon.
On estime également à 85 000 femmes victimes de viol chaque année et seulement 1% des violeurs sont condamnés.
Au travail, 1 femme sur 5 est confrontée au cours de sa vie professionnelle à une situation de harcèlement sexuel et seulement 5% sont portés devant la justice.
Nous proposons aux syndicats et syndiqué.e.s trois actions :
1- A rejoindre le 25 novembre à 12h30 sur la place de l’hôtel de Ville un rassemblement organisé par Solidarité Femmes où un hommage sera rendu aux femmes et enfants décédés en 2018. Et d’inviter les salarié-e-s à y participer.
2 – Le soir, l’association organise une soirée spectacle gratuite au cinéma CGR (13 rue des bas trévois, Troyes) à 20h : la compagnie dissonance(s) propose un spectacle “Un corps qui bat”, suivi d’un débat. Venez nombreuses et nombreux, cela nous donnera l’occasion d’exprimer la position de la CGT en la matière, et notamment au travail.
3 – Nous vous invitons lors de cette journée à transmettre aux salarié.e.s le questionnaire sur le sexisme et les violences, ci-joint.
Le but est de faire émerger le débat dans l’entreprise, de faire un état des lieux de la situation et d’entreprendre des négociations avec l’employeur pour acquérir de nouveaux droits afin de protéger et accompagner les personnes victimes de violences. Nous reviendrons vers vous à ce sujet plus tard.
