SE DONNER LES MOYENS DE REBONDIR.
Aujourd’hui 31 décembre, c’est habituellement un moment de répit pour se retrouver en famille ou entre amis.
MAIS DU RÉPIT, ILS NE NOUS EN LAISSENT AUCUN.
APRÈS CETTE ANNÉE 2020 particulièrement difficile à vivre pour une majorité d’entre nous. Nous ne baisserons pas les bras devant la tâche qui nous attend.
Après ces longs mois de confinement, la lassitude est là et l’ampleur de la crise, l’accélération des attaques contre nos droits nous poussent, parfois, au pessimisme. Malgré la crise sanitaire qui freine les rencontres et les échanges, nous sommes nombreux sur le terrain de l’urgence sociale, nombreux à créer des ponts entre ceux qui allument ces points d’espoir.
SE DONNER LES MOYENS DE REBONDIR.
Construisons le monde d’après, libéré de la finance, en répondant aux enjeux sociaux et climatiques. Nous vous donnons rendez-vous en 2021 pour une année qui s’annonce déjà combative.
Nous vous souhaitons une année 2021 pleine de réalisations personnelles et professionnelles, une très bonne santé, pour vous toutes et vous tous, ainsi qu’à tous vos proches.
Bonne année !
Meilleurs Vœux.
Bien fraternellement
18 décembre: journée internationale des migrantes et migrants,
Plus de soixante personnes se sont réunis hier soir à 17h30 à proximité de la Préfecture de l’Aube pour affirmer leur soutiens aux migrants, déclarations des organisateurs CGT, Mrap, ligue des droits de l’homme. Flambeaux pour donner plus de visibilité à ce rassemblement pour cette journée du 18 décembre, journée internationale des migrantes et migrants, journée de lutte pour l’égalité des droits au travail et dans la vie.
La journée internationale des migrants
La journée internationale des migrants du 18 décembre, aura lieu cette année dans un contexte de crise économique et sociale exacerbant l’instabilité mondiale amplifiée par la pandémie qui touche plus particulièrement les plus pauvres et les plus précaires.
Dans les pays occidentaux, notamment européens, la question migratoire est quasi systématiquement traitée comme un problème qu’il conviendrait de circonscrire par tous moyens.
Les dérives sécuritaires et nationalistes de ces gouvernements prises dans le cadre de l’épidémie accroissent toujours plus la pression sur les travailleurs et travailleuses migrant·e·s.
Les discours les stigmatisant ont pour conséquences d’accroître les mécanismes de domination sur ces populations en les maintenant dans la pauvreté et la précarité en les mettant dans l’incapacité de faire valoir leurs droits face aux pouvoirs publics et à leurs employeurs.
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