LA CGT ORGANISE UN DÉBAT PUBLIC
sur
LE COUT DU CAPITAL
MARDI 23 SEPTEMBRE à 17H3O
AMPHI DU PETIT LOUVRE
Rue Linard Gonthier à TROYES
Le secrétaire général de la CGT réagit aux déclarations de François Rebsamen ce 2 septembre sur I Télé. « Je demande à Pôle Emploi de renforcer les contrôles pour être sûr que les gens cherchent bien un emploi », lance le ministre du Travail. Si ce n’est pas le cas, « il faut qu’il y ait, à un moment, une sanction », estime-t-il encore. Des propos provocateurs qui prétendent masquer la responsabilité du Medef dans la montée du chômage et détourner l’attention sur l’échec flagrant de la politique économique et sociale du gouvernement. Voir la vidéo ci-contre
C’est la question que nombre de salariés sont en droit de se poser ! Deux ans après l’arrivée d’une nouvelle majorité aux élections présidentielles et législatives, le patronat applaudit debout le Premier ministre le jour-même de la publication des catastrophiques chiffres du chômage. Le patronat jubile.
Comment s’en sortir ? :
Prenons nous-mêmes nos affaires en main !
Choisissons de ne pas subir mais de nous unir.
Ne laissons pas le Medef diriger le pays et gagner toujours plus à chaque changement de gouvernement.
télécharger l’adresse aux salariés
La question de la répartition des richesses dans notre pays et du contrôle des aides publiques par les salariés et leurs représentants est posée avec force. Cet argent, c’est le nôtre !
lire la suite sur le site de la confédération
le dossier sur le site de la CGT Site dédié aux élections :
Le président s’obstine à considérer que le travail serait un coût et refuse de tirer le bilan de sa politique qui a déjà offert au patronat 220 milliards d’Euros –pacte de responsabilité et CICE
inclus- payés par les salariés.
Nier le besoin d’augmenter les salaires (revendication principale des
salariés) et ne faire reposer l’augmentation du pouvoir d’achat que sur une baisse de la fiscalité des ménages est la démonstration de l’absence totale de prise en compte des attentes et des réalités vécues par les salariés.
Déjà, lors de la conférence sociale de juillet 2014, il a refusé d’entendre les 94 exigences et les 5 priorités formulées par la CGT qui permettraient de mettre fin à l’austérité et de renouer avec la croissance.
Ces priorités sont :
Revaloriser le SMIC, l’indice des salaires dans la Fonction Publique, les pensions et les minimas sociaux.
Etablir un calendrier d’ouverture des négociations dans les branches professionnelles sur les grilles de qualifications.
Mettre en œuvre une véritable démocratie sociale qui permettra aux salariés de pouvoir bénéficier d’un droit d’expression direct et collectif sur leur travail quelle que soit la taille de l’entreprise.
Relancer l’emploi par l’investissement industriel au travers du plan d’investissement porté par la Confédération Européenne des Syndicats.
Contrôler les aides publiques accordées aux entreprises en les réorientant sur l’emploi et l’investissement.
Devant l’entêtement du chef de l’Etat et de son gouvernement, la CGT réaffirme la nécessité que les salariés, les retraités et les privés d’emplois se mobilisent massivement dans l’unité la plus large.
Montreuil, le 20 août 2014 Interview du président de la République pour Le Monde