17 février 2015
à l’Auberge de Jeunesse de Rosières
17 février 2015
à l’Auberge de Jeunesse de Rosières
LOI MACRON = DÉRÈGLEMENTATION =
ENSEMBLE REFUSONS !!!
Réduction des droits pour les salariés, libertés pour les patrons !
Pour M. Macron l’équation est simple : les droits des travailleurs et les règles qui régissent le « vivre ensemble » sont des obstacles à l’activité des entreprises, il faut les supprimer !
Quelle drôle de conception du rôle de la puissance publique : plutôt que de porter une réelle stratégie en matière de politique économique, et notamment industrielle, le gouvernement préfère dérèglementer à tout va.
La mesure la plus médiatisée du projet de loi est l’élargissement du travail du dimanche et de nuit dans le commerce. Cette mesure représente un recul considérable des droits des salariés de ce secteur et l’extension assurée à d’autres champs. Cet élargissement est aussi un puissant marqueur du changement de société : travailler et consommer 24 heures sur 24 !
L’enjeu n’est-il pas d’abord d’augmenter les salaires, les pensions et les minima sociaux ?
Le projet de loi Macron en débat à l’Assemblée
La caisse à outils du libéralisme
Près de 300 salariés de la célèbre marque de bonneterie troyenne ont débrayé mercredi matin afin de protester contre la faible augmentation de salaire proposée par la direction.
Ils étaient près de 200 sur le site troyen à protester contre les faibles augmentations de salaire proposées
(Photo : Jérôme Bruley)
Les premiers dirigeants des organisations de la CGT, réunis ce mardi 13 janvier 2015, à l’occasion d’un comité confédéral national (CCN) extraordinaire ont adopté à l’unanimité moins 2 abstentions, la mise en place d’un groupe de travail qui sera chargé de définir des principes communs sur les moyens mis à disposition des dirigeants de toutes les organisations de la CGT.
Ils ont également acté à l’unanimité les mesures adoptées par la commission exécutive de la CGT, le 7 janvier dernier, visant à renforcer les procédures financières de la confédération, et le recrutement d’un directeur ou d’une directrice de l’administration confédérale.
La proposition de nouveau bureau confédéral qui leur a été soumise par la direction confédérale n’a cependant pas été adoptée (sur 701 voix disponibles : 57,5% ont voté pour, 41,6% ont voté contre et 1% se sont abstenus), la majorité des deux tiers requise par les statuts de la CGT n’ayant pas été atteinte.
Plus de 20 000 personnes étaient réunies à Troyes, selon la police, pour le rassemblement d’unité nationale organisé à 15 h.
Le rassemblement a été ponctué par des salves d’applaudissements. La Marseillaise a été chantée en chœur à plusieurs reprises. Et à la question « Qui est Charlie », la foule a répondu d’une même voix « Nous sommes tous Charlie ».
Vers 15 h 30, un employé du protocole a énoncé au micro le nom des 17 victimes des attentats avant d’appeler à une minute de silence.