Quel État gère ?

30 décembre 2015 | Ecrit par Patrice MARCHAND

Quel État gère ?

L’état d’urgence

Plus d’une centaine d’organisations associatives et syndicales ont publié, mi-décembre, un appel commun pour dénoncer la pérennisation, voire la constitutionnalisation de l’état d’urgence « véritable détournement » du dispositif mis en œuvre depuis le 13 novembre. « On assiste au fichage de militants qui participent à des rassemblements », s’est insurgée Céline Verzetti, secrétaire générale de la CGT pénitentiaire.  Perquisitions au domicile, entrave au droit syndical en entreprise… l’état d’urgence sert aussi à justifier des attaques contre les mouvements sociaux.

vero-nvo-couleur-998-bd

 http://www.nvo.fr/

Etat d’urgence

Ce gouvernement tourne définitivement le dos aux valeurs humanistes !

En jouant sur l’émotion et la peur, le Gouvernement espère constitutionnaliser l’état d’urgence qui permet d’octroyer plus de pouvoir à la police, aux services de renseignements, à l’administration, ceci au détriment de l’autorité judiciaire.

Mais chacun aura pu mesurer, depuis les attentats, les dérives de ce « régime d’exception » avec son cortège d’interdictions de manifester et d’assignations à domicile qui relèvent, pour certaines d’entre elles, plus du maintien de l’ordre que de la lutte contre le terrorisme.
Ce texte doit donc être combattu pour son inutilité face au risque terroriste, et il doit l’être vigoureusement car il met en péril la Démocratie, les libertés individuelles et collectives.
En effet, les termes flous de la définition de l’état d’urgence font craindre le pire quant à l’utilisation contre les salarié(e)s et les militant(e)s que pourrait en faire ce gouvernement et les futurs…
Pour finir, ce projet de loi constitutionnalise une vieille idée de l’extrême droite, la déchéance de nationalité de citoyens binationaux nés français. Ce calcul politicien, qui crée une sous-catégorie de citoyens, constitue une infamie que la CGT dénonce et combattra avec force.

Montreuil, le 29 décembre 2015

Rassemblement à Romilly pour la défense des ateliers SNCF

07 décembre 2015 | Ecrit par Patrice MARCHAND

APPEL AU RASSEMBLEMENT
Jeudi 10 décembre
11h devant la mairie

La direction de la SNCF, la commune de ROMILLY SUR SEINE, la communauté de communes, le conseil départemental, le conseil régional ont signé un projet de convention de soutien à l’attractivité du bassin d’emploi de vie de Romilly.

Pourquoi pas… Mais est-ce une bonne raison pour sacrifier toutes ces familles Romillones autour de l’emploi cheminot ? Est-ce que Romilly et ses alentours n’ont pas assez souffert pour ne pas avoir droit aux emplois cheminots et ceux prévus dans cette convention ?
I100   Télécharger le tract

Air France : Mobilisation.

02 décembre 2015 | Ecrit par Patrice MARCHAND

I100  Communiqué de la confédération CGT

L’intersyndicale d’Air France appelait ce mercredi 2 décembre à un rassemblement devant le tribunal de Bobigny pour soutenir les cinq salariés poursuivis et accusés de « violence en réunion ».

SiteDSCN6014

Les cinq salariés poursuivis pour «violence en réunion» dans l’affaire de la «chemise déchirée» du DRH seront jugés le 27 mai 2016, a décidé le tribunal de Bobigny. Devant le bâtiment, des centaines de militants et des personnalités politiques sont venues apporter leur soutien à ces cinq salariés

Parmi eux des militants CGT de l’Aube, de la Haute-Marne et des Ardennes ont fait le déplacement.

SiteDSCN6008

SiteDSCN6017

SiteDSCN6027

SiteDSCN6041

I100   voir en Vidéo un reportage sur le site de la manifestation

SiteDSCN6036

SiteDSCN6029

SiteDSCN6022

Journée nationale d’actions interprofessionnelles

30 novembre 2015 | Ecrit par Patrice MARCHAND

Journée nationale d’actions interprofessionnelles

Toutes et tous dans l’action
mercredi 2 décembre 2015
Des milliers de salariés sont menacés de perdre leur emploi, à l’exemple des personnels d’Air France. La violence patronale avec une complaisance gouvernementale, suscite colère et indignation qui se traduisent par des actions collectives mobilisant les salariés. C’est dans ce contexte que les provocations patronales se multiplient afin de stigmatiser l’action syndicale !
Ainsi, 16 salarié-es d’Air France sont trainés devant le Tribunal de Bobigny le 2 décembre ! Leur faute ? Avoir manifesté leur refus de perdre leur emploi !

C’est inacceptable !

Télécharger le tract ci joint  I100 Journée nationale d’actions interprofessionnelles

Ca dépend de nous !
Ensemble, Construisons notre avenir !

26 novembre 2015 | Ecrit par Patrice MARCHAND

Réunion du bureau de l’UD