PHILIPPE MARTINEZ DANS LES MÉDIAS
LUNDI 12 JANVIER À 7 H 48
PHILIPPE MARTINEZ SUR RTL « L’INVITÉ DE RTL »
ÉMISSION PRÉSENTÉE PAR OLIVIER MAZEROLLE
PHILIPPE MARTINEZ DANS LES MÉDIAS
LUNDI 12 JANVIER À 7 H 48
PHILIPPE MARTINEZ SUR RTL « L’INVITÉ DE RTL »
ÉMISSION PRÉSENTÉE PAR OLIVIER MAZEROLLE
L’état d’urgence
Plus d’une centaine d’organisations associatives et syndicales ont publié, mi-décembre, un appel commun pour dénoncer la pérennisation, voire la constitutionnalisation de l’état d’urgence « véritable détournement » du dispositif mis en œuvre depuis le 13 novembre. « On assiste au fichage de militants qui participent à des rassemblements », s’est insurgée Céline Verzetti, secrétaire générale de la CGT pénitentiaire. Perquisitions au domicile, entrave au droit syndical en entreprise… l’état d’urgence sert aussi à justifier des attaques contre les mouvements sociaux.
La direction de la SNCF, la commune de ROMILLY SUR SEINE, la communauté de communes, le conseil départemental, le conseil régional ont signé un projet de convention de soutien à l’attractivité du bassin d’emploi de vie de Romilly.
Communiqué de la confédération CGT
L’intersyndicale d’Air France appelait ce mercredi 2 décembre à un rassemblement devant le tribunal de Bobigny pour soutenir les cinq salariés poursuivis et accusés de “violence en réunion”.
Les cinq salariés poursuivis pour «violence en réunion» dans l’affaire de la «chemise déchirée» du DRH seront jugés le 27 mai 2016, a décidé le tribunal de Bobigny. Devant le bâtiment, des centaines de militants et des personnalités politiques sont venues apporter leur soutien à ces cinq salariés
Parmi eux des militants CGT de l’Aube, de la Haute-Marne et des Ardennes ont fait le déplacement.
voir en Vidéo un reportage sur le site de la manifestation
Toutes et tous dans l’action
mercredi 2 décembre 2015
Des milliers de salariés sont menacés de perdre leur emploi, à l’exemple des personnels d’Air France. La violence patronale avec une complaisance gouvernementale, suscite colère et indignation qui se traduisent par des actions collectives mobilisant les salariés. C’est dans ce contexte que les provocations patronales se multiplient afin de stigmatiser l’action syndicale !
Ainsi, 16 salarié-es d’Air France sont trainés devant le Tribunal de Bobigny le 2 décembre ! Leur faute ? Avoir manifesté leur refus de perdre leur emploi !