Réunion de la Commission exécutive de l’UD
Manifestation / Grève
Mardi 5 juillet 2016
14 h – Place de la Mairie à Troyes
15h30 – Place de l’Hôtel de ville à Bar sur Aube
Loi travail: Grève et manifestation
Manifestation / Grève
Mardi 5 juillet 2016
14 h – Place de la Mairie à Troyes
15h30 – Place de l’Hôtel de ville à Bar sur Aube
Loi travail: Une détermination croissante
Au contraire de l’essoufflement, une détermination croissante
mardi 28 juin 2016
À Troyes ce soir le rassemblement devant la Préfecture réunissait une centaine de militants
Pour remettre les votations (environ 2500) l’intersyndicale se donne rendez-vous demain dans les locaux de la CGT pour décider des modalités d’actions pour la journée du 5 juillet prochain.
Le gouvernement ne peut rester sans considération face à cette réalité, ce même gouvernement qui ne cesse d’évoquer le respect de la démocratie, parole du président de la république lundi à propos du référendum en Angleterre, dixit « il faut savoir entendre la voix des peuples », la CGT est pleinement d’accord, charge aux pouvoirs en place d’assumer leurs responsabilités.
A Paris
La rencontre de demain avec le Premier Ministre et la Ministre du travail en est l’occasion.
L‘intersyndicale FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL et FIDL à d’ores et déjà programmée une nouvelle journée de grève et de manifestation le 5 juillet, jour d’ouverture des débats à l’Assemblée Nationale. La loi travail est et restera inacceptable, la CGT y est opposée et exige la suspension des débats parlementaires et la suppression des articles qui en sont la colonne vertébrale au profit d’une véritable négociation de loi de progrès social.
Le siège de la CGT à Montreuil «vandalisé» dans la nuit
Le siège de la CGT à Montreuil «vandalisé» dans la nuit
Des individus cagoulés ont cassé plusieurs portes et vitres, selon Philippe Martinez, secrétaire général de la confédération.
Le siège de la CGT à Montreuil a été «vandalisé» dans la nuit de vendredi à samedi par des individus cagoulés qui ont cassé plusieurs portes et vitres, a déclaré ce samedi Philippe Martinez, secrétaire général de la confédération, confirmant une information du Parisien. Il affirme avoir porté plainte.
Deux individus cagoulés
«Ca s’est fait assez vite. Des individus cagoulés avec des sacs à dos ont franchi les barrières et ont tapé, forcément avec des objets costauds, sur des portes et des vitres», a indiqué Philippe Martinez. Selon des sources policières, deux individus encagoulés ont franchi les grilles munis de marteaux samedi vers 23h30. Ils ont cassé sept à huit vitrines avant d’être mis en fuite par les vigiles. «On dispose de vidéosurveillance mais ils vont être très difficiles à identifier à cause des cagoules. Ca ressemble à un match retour après la casse à la CFDT», selon la source policière, qui évoque des personnes «visiblement bien organisées».
Les personnes cagoulées n’ont pas pu entrer à l’intérieur du siège de la première organisation syndicale française. «Il y a plusieurs portes à franchir pour rentrer au siège. Ils ont cassé la première, les vitres sur les côtés, mais ils n’ont pas pu entrer parce qu’il y a un système qui se déclenche», a poursuivi Philippe Martinez, qui estime que la confédération «a évité le pire» et assure que le bâtiment n’a jusqu’à présent jamais été victime de violences d’«une telle ampleur».