Les violences seraient-elles couvertes en haut lieu ?
VIOLENCE POLICIÈRE
Déclaration de la fédération de la fonction publique : Affaire Benabella, prémices de la fonction publique selon Macron
Les violences seraient-elles couvertes en haut lieu ?
Sur les réseaux sociaux et dans les médias, circulent des images sur lesquelles on peut voir le responsable de la sécurité du président de la République s’adonner à des violences, lors d’une manifestation le 1er mai. À en croire les services de l’État (dixit le directeur de cabinet du président), il était en « immersion » parmi les forces de l’ordre afin de voir « comment se gérait la sécurité d’une grande manifestation » !
Pourtant, ce que l’on constate sur les images n’a rien à voir avec la gestion de la sécurité mais plus avec un déferlement de violence gratuite envers les manifestants. Violences importantes et répétées ! Nous constatons aussi, sur ces images, que des personnes, hors police, peuvent se munir de casques de policier et intervenir avec violence pour frapper des militants en toute impunité.
LES RETRAITÉS NE RENONCENT PAS A LEURS DROITS MONSIEUR MACRON !
LES RETRAITÉS NE RENONCENT PAS A LEURS DROITS MONSIEUR MACRON !
Comment imposer aux retraités de se sacrifier encore en gelant leurs pensions et en leur infligeant une hausse de la CSG ? Comment envisager de remettre en cause les pensions de réversion ? Les retraités ont contribué à faire de la France une des premières puissances mondiales. Cela leur donne des droits qu’ils ont l’intention de faire respecter.
Le tract de l’UCR CGT sur www.ucr.cgt.fr à diffuser partout.
Licenciement jugé sans motif : 1,5 million d’euros d’indemnités pour les ex-Petitjean
Licenciement jugé sans motif : 1,5 million d’euros d’indemnités pour les ex-Petitjean
Le licenciement de 50 salariés de Petitjean en 2015 vient d’être jugé sans cause réelle et sérieuse. En moyenne, ils recevront une indemnité de 30 000 €.
« Si on nous avait écouté en 2015, on aurait évité 50 licenciements », affirme Philippe Brun, l’avocat de 50 salariés de Petitjean qui avaient été licenciés en 2015 et qui ont décidé de contester devant la justice le motif économique de leur licenciement. Après quatre années de bataille judiciaire, la cour d’appel de Reims vient de leur donner raison. Leurs licenciements économiques, réalisés en 2015 après la mission du cabinet Prosphères, a été jugé « sans cause réelle et sérieuse ». La cour a en effet estimé qu’il n’y avait de motif économique à leur licenciement. Selon la loi en vigueur à l’époque, le périmètre d’appréciation de la cause économique s’apprécie au niveau du groupe et non celui de la société.
Une victoire amère
Avec les nouvelles lois réformant le droit du travail, cette victoire judiciaire ne serait plus possible. Le périmètre du groupe pour apprécier le motif économique est désormais limité aux activités exercées en France. « Ce qui permet aux multinationales toutes les manipulations. La loi de sécurisation de l’emploi est une loi de sécurisation patronale »,