Une centaine d’enseignants ont manifesté devant la préfecture de l’Aube

13 novembre 2018 | Ecrit par Patrice MARCHAND

Une centaine d’enseignants ont manifesté devant la préfecture de l’Aube

Une centaine de manifestants de l’Éducation nationale étaient réunis, avec des élèves, ce lundi après-midi devant la Préfecture de l’Aube. Une délégation a été reçue par un représentant de l’État.

Plusieurs syndicats d’enseignants avaient appelé à la grève suite à l’annonce de la suppression de 2 600 postes dans le second degré à la rentrée 2019 et la suppression de 400 postes administratifs. Quant à la création de postes dans le 1er degré, elle est jugée très insuffisante, notamment en raison d’une forte poussée démographique.

« Ça n’est pas possible ! observent des manifestants. Le second degré est le plus touché dans l’Aube. En moyenne il y a 36 élèves par classe en secondaire et 25 élèves en primaire. Ce qui a une incidence sur la qualité de l’enseignement dans les classes et la violence ».

Suite à ce rassemblement devant la préfecture, une assemblée générale se tenait dans une des salles du Petit Louvre pour échanger sur cette journée d’action et des suite à donner.

Le « Chef d’Œuvre » c’est tous les jours dans nos classes si on nous en donne les MOYENS !

La CGT Educ a ouvert la journée de mobilisation du 12 novembre devant le Lycée   Marie de Champagne, lycée emblématique puisque ses filières tertiaires sont directement impactées par la réforme de la Voie Professionnelle.

Une bonne centaine de manifestants ont, en début d’après-midi, répondu à l’appel national à la grève de la CGT Educ’Action, FSU, UNSA, CFDT. L’annonce de plus de  2600 suppressions de postes dans les collèges et lycées, de 400 dans les services administratifs, 600 dans  le privé  a unanimement été condamnée par les organisations syndicales dans le cadre d’une audience avec le directeur de cabinet du préfet alors que les premières suppressions de postes sont évoquées dans les établissements.

Les 70 personnels rassemblés dans l’amphi du Petit Louvre ont ensuite débattu du choix du  projet de société que traduisent ces destructions de postes et de la disette budgétaire dont ils vont continuer de faire les frais.

L. Corpel CGT Educ Aube

Il y en a qui protestent, qui revendiquent et qui contestent.

11 novembre 2018 | Ecrit par Patrice MARCHAND

Il y en a qui protestent,
qui revendiquent et qui contestent.

Et l’autre installe son gilet jaune,
côté passager…

 

10 novembre 2018 | Ecrit par Patrice MARCHAND

le  15 novembre la Fédération santé et action sociale a déposée un préavis de gréve national  pour cette journée

: l’arrêt du démantèlement de la psychiatrie (fermeture de structures, de lits et suppressions de postes).

: le financement d’effectifs suffisants pour assurer des soins de qualité et la sécurité des patient.e.s et des soignant.e.s

: La reconnaissance de la pénibilité de nos métiers avec un départ anticipé à la retraite

: l’Amélioration des conditions de travail des personnels passant par des consultations,  concertations, négociations obligatoires avec ceux-ci et les organisations syndicales qui les  représentent.

: l’Augmentation du point d’indice pour une vraie revalorisation de nos salaires

vous trouverez en PJ le préavis de gréve et un tract appelant a se mobilisé

le syndicat CGT tiendra un piquet de gréve avec Kanopi devant l’ établissement et ouverture d’un cahier revendicatif qui sera ensuite déposé a l’ARS

10 novembre 2018 | Ecrit par Patrice MARCHAND

LA JOURNÉE MONDIALE DU 25 NOVEMBRE 2018 POUR L’ÉLIMINATION DES VIOLENCES CONTRE LES FEMMES DOIT PRENDRE CETTE ANNÉE UN RELIEF PARTICULIER. LA CGT EST PARTIE PRENANTE DANS LE MOUVEMENT #NOUSTOUTES.

Nous appelons à toutes les mobilisations unitaires du 24 novembre dans les territoires

Violences sexistes et sexuelles ça SUFFIT !

10 novembre 2018 | Ecrit par Patrice MARCHAND

LA JOURNÉE MONDIALE DU 25 NOVEMBRE 2018 POUR L’ÉLIMINATION DES VIOLENCES CONTRE LES FEMMES DOIT PRENDRE CETTE ANNÉE UN RELIEF PARTICULIER. LA CGT EST PARTIE PRENANTE DANS LE MOUVEMENT #NOUSTOUTES.

Nous appelons à toutes les mobilisations unitaires du 24 novembre dans les territoires avec les comités locaux et à toutes les formes d’actions dans les entreprises et services. Les milliers de témoignages et de dépôts de plaintes démontrent l’ampleur et la gravité des violences sexistes et sexuelles dans la société et au travail, mais également d’un élan des femmes pour prendre la parole en visibilisant leur réalité.

Ces témoignages ne peuvent rester sans suite.

Il nous faut gagner et renforcer des droits collectifs, pour mettre fin à la tolérance sociale et à l’impunité qui entourent les violences contre les femmes.

LA CGT PORTE DE NOMBREUSES PROPOSITIONS

Le combat pour la dignité au travail est essentiel, nous le mènerons activement et sans relâche, pour de réelles avancées.

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