Le système par points ça permet une chose…réécoutons François Fillon

12 octobre 2018 | Ecrit par Patrice MARCHAND

Alors que le gouvernement vient d’annoncer que le nouveau système de retraite fonctionnera par points, François Fillon, pendant la campagne présidentielle, explique à des chefs d’entreprises la raison pour laquelle il était favorable à la retraite par points : “Le système par points ça permet une chose qu’aucun homme politique n’avoue, ça permet de baisser chaque année la valeur des points et donc de diminuer le niveau des pensions.”

Çà a au moins le mérite d’être clair !

11 octobre 2018 | Ecrit par Patrice MARCHAND

Commissions Exécutive

19 octobre 2018

de 8h30 à 17 h

C’est la politique qu’il faut changer !

10 octobre 2018 | Ecrit par Patrice MARCHAND

LA MOBILISATION DEMEURE

C’est la politique qu’il faut changer !

Ce 9 octobre a été une belle preuve que les salariés, jeunes, demandeurs d’emplois et retraités ne veulent pas de cette politique creusant les inégalités, prenant aux pauvres pour donner aux riches.
Près de 300 000 manifestants ont battu le pavé. Au-delà de ce chiffre, de nombreuses actions ont été recensées sur le territoire sous formes diverses : grèves et débrayages, pique-niques revendicatifs, distributions de tracts, tenues d’assemblée générale, blocage de zones d’activité, etc.
Ces mobilisations ont permis d’inscrire dans un mouvement national, l’expression de revendications locales ou spécifiques de certaines professions.
Toutes et tous se sont retrouvés pour exiger l’augmentation des salaires, des pensions et des minimas sociaux ; l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes et l’arrêt de la casse des services publics.
Au cœur des préoccupations également : la sécurité sociale, la santé, la retraite, l’éducation et la formation… Sur tous ces sujets, d’autres choix sont possibles et la CGT est porteuse de propositions pour conquérir de nouveaux droits.

Dans l’Aube : plus de 800 manifestants

09 octobre 2018 | Ecrit par Patrice MARCHAND

Troyes: plus de 600 manifestants contre la politique sociale du gouvernement

Romilly : 80 manifestants  Bar/Aube : plus de 130

Devant la préfecture de Troyes, plus de 600 personnes étaient réunies dès 10 h ce mardi, pour répondre à l’appel à la mobilisation interprofessionnelle lancé par des organisations syndicales de salariés, d’étudiants et de lycéens. CGT, FO, Solidaires, UNEF. Parmi eux, une grande majorité de retraités, qui affichent leur ras-le-bol face aux mesures du gouvernement – hausse de la CSG, baisse du pouvoir d’achat… Cette journée de mobilisation était à l’origine une journée d’action à l’initiative des retraités. Ils sont donc restés fortement mobilisés. Cette journée avec une participation en légère hausse sur les dernières journées de grèves de manifestation. 450 pour le 19 avril 2018, 700 en mai pour la fonction publique…

Philippe Martinez ne manquait pas de souligner fort justement que « La mobilisation ne se mesure pas qu’au nombre de manifestants »

La capacité à se mobiliser ne se mesure pas seulement au nombre de manifestants dans la rue. Depuis un an et demi, la CGT est présente, elle existe, elle donne des arguments, elle établit des propositions alternatives. Tout cela contribue à alimenter la réflexion et à produire du débat.

Une délégation syndicale a été reçue par le préfet, (une première depuis bien longtemps), avant le départ du cortège qui va se diriger après un passage en ville vers la maison des syndicats.

D’autres rendez-vous ont eu lieu, rendez-vous était donné à Romilly-sur-Seine, un rassemblement a eu lieu à 15 h 30 à Bar-sur-Aube, sur la place de la mairie, avant le départ du cortège de manifestants.

Déclaration de fin de manifestation

Déclaration intersyndicale  (à venir)

Déclaration des Retraités

à Troyes

à Bar-sur-Aube

Dans la rue contre les agressions de «Jupiter»

06 octobre 2018 | Ecrit par Patrice MARCHAND

Dans la rue contre les agressions de «Jupiter»

«  La réforme de l’assurance chômage avec sa dose de dégressivité annoncée sans négociation, c’est 4 milliards d’économies sur trois ans, sur le dos des chômeurs. On leur fait payer le fait qu’ils n’ont plus d’emploi ! Et dans le même temps, le crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE) va coûter 40 milliards en 2019, sans créer aucun emploi », fustige d’emblée Bruno Rossi, secrétaire général adjoint de la CGT.

À ses côtés, hier soir, les autres syndicalistes aubois partagent la même colère. « C’est une attaque contre le système social dans sa globalité  », dénonce le leader de FO, Arnaud Marchal, avant d’énumérer une litanie de suppressions d’emploi.