La journée internationale des migrants du 18 décembre, aura lieu cette année dans un contexte de crise économique et sociale exacerbant l’instabilité mondiale amplifiée par la pandémie qui touche plus particulièrement les plus pauvres et les plus précaires.
Dans les pays occidentaux, notamment européens, la question migratoire est quasi systématiquement traitée comme un problème qu’il conviendrait de circonscrire par tous moyens.
Les dérives sécuritaires et nationalistes de ces gouvernements prises dans le cadre de l’épidémie accroissent toujours plus la pression sur les travailleurs et travailleuses migrant·e·s.
Les discours les stigmatisant ont pour conséquences d’accroître les mécanismes de domination sur ces populations en les maintenant dans la pauvreté et la précarité en les mettant dans l’incapacité de faire valoir leurs droits face aux pouvoirs publics et à leurs employeurs.
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